Les intervenantEs : des personnes impliquées dans plusieurs pays d’Europe et en Inde.

• Geneviève AZAM (Toulouse - France). Économiste membre d’ATTAC, auteure de "Osons rester humain. Les impasses de la toute puissance" (2015).
  Pourquoi la GPA ne peut pas être éthique ?

• Regula STÄMPFLI (Suisse- Belgique). Politologue, auteure de "Frauen ohne Maske", l’une des rares chroniqueuses femmes dans les médias de langue allemande. Pourquoi doit-on redouter le recours à la maternité de substitution ?

• Sheela SARAVANAN (Inde, Allemagne). Chercheuse. A conduit des recherches sur le commerce de la maternité de substitution en Inde, est reconnue comme une spécialiste du sujet. A également travaillé sur l’infanticide des filles et la violence contre les femmes.Les formes d’exploitation de la maternité de substitution mondialisée

• Jean-Daniel RAINHORN (France). Médecin, a dirigé un ouvrage collectif qui dénonce l’émergence de nouveaux types de marchandisation des corps humains, parmi lesquels le trafic d’organes et le marché des mères porteuses.! New Cannibal Markets, Globalization and Commodification of the Human Body. Promouvoir l’abolition de la GPA ou plus largement celle de la marchandisation du corps humain ?

• Eva Maria BACHINGER (Autriche). Ecrivaine, auteure de "Enfants sur commande". L’iniquité des contrats de gestation pour autrui passés aux Etats Unis.

• René FRYDMAN (France) gynécologue des hôpitaux de Paris. A co-présidé un groupe de réflexion à l’initiative, en 2010, du rapport extrêmement riche et argumenté : "Mères porteuses : Extension du domaine de l’aliénation".

• Kajsa EKIS EKMAN (Suède) Journaliste, auteure de l’Etre et la marchandise, Suède, donne des conférences en Europe sur le sujet, fait partie d’un groupe qui cherche à créer un réseau européen contre le recours à la maternité de substitution. La GPA est la petite sœur de la prostitution, puisque les deux industries sont à l’intersection du capitalisme et du patriarcat.

• Julie BINDEL (Royaume Uni). Journaliste free-lance, fondatrice de "Justice for Women". Au Royaume Uni, l’idée du recours à la maternité de substitution se banalise.

« Modératrices » : Martine SEGALEN (table ronde 1) et Miné GÜNBAY (table ronde 2)

Une prise de parole politique des éluEs

Sont intervenuEs à la tribune et ont ratifié la charte : les députéEs socialistes Laurence DUMONT , Elisabeth GUIGOU et Benoît HAMON, la députée communiste Marie-George BUFFET, la sénatrice du groupe Communiste Républicain et Citoyen (CRC) Laurence COHEN et l’eurodéputé écologiste José BOVE

Pour plus d’info, consultez la video des Assiseshttps://www.youtube.com/watch?v=7o00oq0nDZs

Les premières associations signataires de la charte à la fin des Assises

Les associations lors de la signature de la charte

• Amicale du Nid
• Assemblée des femmes
• Association Se non ora quando ? -Libere, Rome.
• Bagdam Espace lesbien - Toulouse
• CADAC
• Centre Evolutif Lilith - Marseille
• Collectif National pour les droits des Femmes - CNDF
• Collectif midi-Pyrénées pour les droits des femmes
• Coordination Lesbienne en France - CLF
• CoRP
• CQFD / Fierté Lesbienne
• Cibel
• Élus Locaux Contre l’Enfance Maltraitée - ELCEM
• Femmes migrantes debout
• La Lune, Strasbourg
• Libres Mariannes
• Ligue des Femme iraniennes pour la Démocratie - LFID
• Ligue Internationale pour les Droits des Femmes - LIDF
• Marche Mondiale des femmes
• Pour les droits des femmes du Québec - PDF Québec
• Université des Femmes de Bruxelles
• Le réseau féministe Ruptures

N.B. Ces Assises étaient organisées par Le CoRp, la Cadac et la Coordination Lesbienne en France avec l’appui de Laurence DUMONT, Vice Présidente de l’Assemblée Nationale

Intervention de la CLF aux Assises : Jocelyne Fildard et Catherine Morin Lesech